Adopting an Olive Tree helps to protect the environment
After Nudo, an organic farm in the green hills of Umbria, Italy, proposes an unusual gift idea for Christmas: Adoption of an olive tree, a present that will help to preserve nature.
The olive tree is one of the oldest cultivated plants of humanity. Since antique times it is a symbol for peace, longevity, health and strength. A mythological tree. Greek mythology wants it that goddess Athena herself gave it as a present to mankind.
La Rogaia offers Olive Tree Gift Packages, for one year or for a whole life. The adoption of an olive tree is not only a gift of high symbolical value: it includes getting finest quality extra virgin olive oil from one’s own tree.
Une production d’huile d’Olive Tunisienne 2007 de 200.000 tonnes
Par F.b.
L’année sera bonne, puisqu’il est prévu une production de l’ordre de 200.000 t d’huile d’olive. On est peut-être loin du record de 1996-1997, date à laquelle la production a atteint 310.000 t mais l’optimisme reste de rigueur si l’on sait que pour la troisième année consécutive, le pays baigne en quelque sorte dans de l’huile.
Les prix en seront-ils pour autant cléments, du moins pour le consommateur tunisien ? Gageons qu’il n’en sera rien, puisque d’ores et déjà, dans certaines régions, le litre d’huile est vendu jusqu’à 5 dinars. Sur le plan officiel, rien n’est sûr et à souk Gremda à Sfax, le plus important, paraît-il, de toute l’Afrique, le kilo d’olives est vendu entre 350 millimes -, il s’agit de la nchira, ces olives qui tombent d’elles-mêmes et qui et ne sont pas de grande qualité – et 950 millimes.
Le vieillissement menace les oliveraies Tunisiennes – 30 % des plantations dépassent 75 ans
Par Samira Hamrouni,
En Tunisie, pays de l’olivier par excellence, l’arbre millénaire jalonne le paysage et fait sa réputation. La région de Sfax est bien connue par ses oliviers magnifiques et par sa grande production d’huile d’olive.
Depuis l’intervention coloniale, l’histoire de développement économique de la région est fortement liée à une entreprise d’installation des plantations oléicoles sur toute la steppe pastorale de l’arrière-pays de la ville de Sfax. Actuellement, la région est considérée comme capitale de la production de l’huile d’olive.
Ainsi, une grande partie de l’économie de la région dépend de cette culture. Chaque région a sa variété. A Sfax, c’est le Chemlali, célèbre pour ses qualités salutaires. On compte 5,579 millions de pieds. Ceci représente 8,7% de l’effectif national. Côté production, la région fournit 26,3% de la production nationale en olives et 31 % de la production tunisienne de l’huile d’olive. A sfax, on calcule 412 huileries, presque 25 % de l’effectif national.
Huile d’olive Tunisienne – Le chemin ardu du conditionnement
Par Fadhila Bergaoui,
Certes nos vergers oléicoles tissent leurs toiles à travers tout le territoire national. Notre huile est fruitée à souhait pour ceux qui l’aiment ainsi, douce à volonté pour d’autres. Certes, nous sommes le 4e producteur mondial d’huile d’olive. Mais nous restons d’illustres inconnus auprès des consommateurs européens et ceux des deux Amériques et de l’Asie.
Or l’huile d’olive est en train de gagner des territoires inconnus pour elle jusqu’à maintenant. Partout dans le monde, la demande se fait pressante et importante.
L’oléiculture Tunisienne, un secteur extrêmement délicat
Par Nadia Chahed,
Mohamed Driss, un des plus grands producteurs d’huile d’olive de Borj El Amri n’hésite pas à mettre la main à la pâte. Passionné et amoureux de la terre, il la sillonne dans tous les sens, en parle comme d’une partie de soi-même à telle enseigne qu’il en devient un spécialiste. Ne s’est-il pas engagé dernièrement jusqu’à tenter une nouvelle expérience, celle de la fertilisation par la margine ? L’huile d’olive, il y est jusqu’au cou et sait en parler comme personne.
«6 millions de dinars de pertes, alors que le prix de vente prévu était de 6 dinars le litre, j’ai dû le vendre à 4 dinars, certains producteurs se sont suicidés », ainsi parle Mohamed Driss, agriculteur et producteur d’huile d’olive de la région de Sfax, des mésaventures des oléoculteurs tunisiens en 2005. C’est dire que le secteur de production d’huile d’olive a beaucoup d’aléas et qu’il n’est guère facile de s’y mettre ni d’y réussir sans prendre des risques. D’ailleurs, notre interlocuteur a opté, cette année, pour la vente sur pieds de ses oliviers.
Concernant ce choix, il évoque les risques liés à la fluctuation des prix de vente tels que ceux de l’année 2005 et de nouveaux problèmes qui ne cessent de se multiplier notamment le vol, un phénomène de plus en plus fréquent et qui demeure ingérable malgré la multiplication du nombre des gardiens et des précautions prises.
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